Un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale reçoit le remboursement intégral de ses frais de soutien à domicile et de soins personnels

Parfois, une enquête du BOV révèle une injustice dans le processus de décision d’ACC concernant les frais médicaux. La façon dont une politique est interprétée peut entraîner le refus de couvrir des traitements qui, autrement, pourraient être couverts. C’est le cas d’un vétéran qui a communiqué avec notre bureau.
Les vétérans peuvent obtenir une couverture d’ACC pour un traitement psychologique lorsqu’ils reçoivent une prestation d’invalidité pour un problème de santé mentale lié au service ou lorsqu’ils participent au programme de réadaptation. Récemment, un vétéran qui avait besoin de cette aide d’ACC nous a demandé d’intervenir.
Parfois, une enquête du BOV révèle une injustice dans le processus de décision d’ACC concernant les frais médicaux. La façon dont une politique est interprétée peut entraîner le refus de couvrir des traitements qui, autrement, pourraient être couverts. C’est le cas d’un vétéran qui a communiqué avec notre bureau.
Les vétérans peuvent obtenir une couverture d’ACC pour un traitement psychologique lorsqu’ils reçoivent une prestation d’invalidité pour un problème de santé mentale lié au service ou lorsqu’ils participent au programme de réadaptation. Récemment, un vétéran qui avait besoin de cette aide d’ACC nous a demandé d’intervenir.
En raison d’une erreur administrative, une survivante de 85 ans a obtenu un montant excédentaire de presque 19 000 $. Bouleversée et vulnérable, cette survivante a communiqué avec nous et nous avons agi en son nom.
Un vétéran s’est vu refuser des services dans le cadre du Programme pour l’autonomie des anciens combattants (PAAC) parce que ses blessures étaient psychologiques plutôt que physiques. Il a communiqué avec nous pour obtenir de l’aide.
Après avoir passé près de trois ans à essayer d’obtenir d’ACC que ses paiements de la prestation de remplacement du revenu (PRR) soient revus, une femme vétéran de la Force de réserve a décidé de prendre contact avec nous. Estimant qu’elle recevait moins que ce à quoi elle avait droit, la femme vétéran espérait que le Bureau de l’ombudsman des vétérans (BOV) pourrait l’aider.
S’y retrouver dans les programmes et les critères d’ACC peut parfois s’avérer une véritable course à obstacles pour les vétérans, particulièrement lorsque la situation est urgente. Dans bien des situations, une communication efficace d’ACC à ses clients fait la différence entre le fait qu’un vétéran obtienne l’aide dont il a besoin ou qu’il passe entre les mailles du filet. C’est le cas d’un vétéran de la Seconde Guerre mondiale et de son fils qui ont communiqué avec le BOV.
Un peu d’adaptation à la maison peut faire beaucoup, surtout lorsque cette adaptation peut améliorer la qualité de vie d’une personne âgée. Pour bon nombre d’entre elles, la capacité de demeurer en sécurité à la maison est essentielle au maintien de l’autonomie.
Ceux qui comptent sur les médicaments pour maîtriser leurs problèmes de santé savent à quel point il est crucial de les traiter quotidiennement. Le traitement peut également être coûteux si une personne n’a pas la couverture appropriée.
Pour un vétéran qui a communiqué avec notre bureau, son médicament et sa couverture étaient au cœur de ses préoccupations.