Un vétéran a communiqué avec le Bureau de l’ombudsman des vétérans, parce qu’il n’était pas satisfait de l’évaluation initiale (provisoire) de 28 pour cent qu’il avait reçue pour plusieurs blessures importantes subies lors de l’explosion d’un engin explosif improvisé. Le Bureau a communiqué avec le conseiller médical principal de l’Administration centrale d’Anciens Combattants Canada et grâce à des discussions, il a réussi à faire évaluer les blessures de façon holistique (plutôt que chaque blessure séparément). La note pour l’évaluation est alors passée de 28 pour cent à 72 pour cent.