Un vétéran s’est vu refuser des services dans le cadre du Programme pour l’autonomie des anciens combattants (PAAC) parce que ses blessures étaient psychologiques plutôt que physiques. Il a communiqué avec nous pour obtenir de l’aide.
Le programme prévoit le financement de services tels que l’entretien du terrain, l’entretien ménager et la préparation des repas. Le plus souvent, ces services sont approuvés lorsque le demandeur n’est pas en mesure de faire ces activités en raison de limitations physiques. Dans ce cas, le vétéran était physiquement capable de tondre sa pelouse et de nettoyer sa maison, mais ses blessures psychologiques ont affecté sa capacité à fonctionner et à s’occuper de telles activités quotidiennes.
Notre bureau est intervenu aussitôt que le vétéran nous a contactés. Dès le début de l’enquête, il était clair pour l’analyste des enjeux du BOV que la décision de refuser les prestations était injuste, car elle ignorait les besoins psychologiques du vétéran. Cet analyste a établi une justification pour l’annulation de la décision et a aidé le vétéran avec les deux niveaux d’appel, dont le second a produit le résultat qu’il méritait – l’accès aux services du PAAC dont il avait besoin.