Ceux qui comptent sur les médicaments pour maîtriser leurs problèmes de santé savent à quel point il est crucial de les traiter quotidiennement. Le traitement peut également être coûteux si une personne n’a pas la couverture appropriée.
Pour un vétéran qui a communiqué avec notre bureau, son médicament et sa couverture étaient au cœur de ses préoccupations.
Le vétéran souffrait d’une affection inconfortable qui engourdissait certaines parties du corps et lui donnait froid en réaction à des températures froides ou à un stress émotionnel. Au fil du temps, cette affection peut entraîner un léger épaississement des petites artères, ce qui limite davantage la circulation sanguine.
Pendant de nombreuses années, le vétéran a traité son affection ouvrant droit à pension avec des médicaments couverts par Anciens Combattants Canada (ACC). Toutefois, lorsque son médecin a changé l’ordonnance pour passer de comprimés à un liquide, ACC a déclaré qu’il ne pouvait pas établir de lien avec l’affection ouvrant droit à pension du vétéran et qu’il ne paierait pas.
Lorsque le vétéran a demandé de l’aide au BOV, cela faisait plusieurs mois qu’il essayait, sans succès, de faire approuver à nouveau le médicament par ACC.
Après avoir évalué la situation, le BOV a constaté que le médicament du vétéran avait été couvert pendant des décennies avant le passage du comprimé au liquide. Les vétérans ont droit à des traitements pour les affections ouvrant droit à pension.
Un agent d’intervention du BOV a envoyé le dossier à ACC et lui a demandé de se renseigner auprès du médecin du vétéran pour obtenir les renseignements médicaux nécessaires pour une approbation.
ACC a communiqué avec l’unité des services pharmaceutiques de Croix Bleue Medavie (CBM), qui l’a informé que personne d’ACC n’avait communiqué avec elle au nom du vétéran pour discuter du problème de couverture.
Un consultant médical de CBM a approuvé le médicament avec un remboursement rétroactif de 18 mois.
Après avoir essayé pendant un an et demi de se faire rembourser le médicament, le vétéran a finalement pu recevoir le médicament auquel il avait droit.
Parfois, notre travail consiste à intervenir là où rien n’a été fait. Cette histoire illustre l’impact que peut avoir une telle intervention.