Dans le cadre d’un traitement pour affection ouvrant droit à pension, deux médecins ont recommandé la luminothérapie à un ancien combattant. ACC a rejeté la demande de couverture, car l’instrument ne figurait pas dans leur tableau des avantages. Après des discussions avec le Ministère, on a trouvé qu’il existait une quantité de preuves suffisante pour justifier ce type de traitement. Résultat, ACC a modifié leur tableau des avantages afin d’y inclure le traitement. ACC couvrira désormais le traitement de l’ancien combattant en question.
Cas en vedette
Cette histoire est liée en quelque sorte à l’un des dossiers de l’heure signalés le mois dernier. Depuis des années, un ancien combattant de 82 ans se rend à ses rendez-vous médicaux en empruntant la même route puisqu’il estime qu’elle est la moins dangereuse pour lui. D’habitude, ACC le remboursait selon le kilométrage indiqué sur son odomètre, mais il a récemment commencé à le rembourser en fonction du kilométrage calculé par Google Maps, qui utilise la distance entre son adresse domiciliaire et l’adresse du cabinet du médecin.
Dans un autre cas, ACC a refusé à un ancien combattant sa demande de déplacement pour des activités sociales, présentée au titre du Programme pour l’autonomie des anciens combattants. ACC évoquait que, bien que l’intervenant touche une pension, il ne satisfaisait pas aux critères relatifs au faible revenu. Après examen du dossier d’ACC, nous avons constaté qu’il était admissible à l’allocation pour anciens combattants aux fins des avantages médicaux. Selon ces critères, l’ancien combattant répondait à ceux du faible revenu.