Parfois, une enquête du BOV révèle une injustice dans le processus de décision d’ACC concernant les frais médicaux. La façon dont une politique est interprétée peut entraîner le refus de couvrir des traitements qui, autrement, pourraient être couverts. C’est le cas d’un vétéran qui a communiqué avec notre bureau.
Cas en vedette
En raison d’une erreur administrative, une survivante de 85 ans a obtenu un montant excédentaire de presque 19 000 $. Bouleversée et vulnérable, cette survivante a communiqué avec nous et nous avons agi en son nom.
Un vétéran s’est vu refuser des services dans le cadre du Programme pour l’autonomie des anciens combattants (PAAC) parce que ses blessures étaient psychologiques plutôt que physiques. Il a communiqué avec nous pour obtenir de l’aide.
Après avoir passé près de trois ans à essayer d’obtenir d’ACC que ses paiements de la prestation de remplacement du revenu (PRR) soient revus, une femme vétéran de la Force de réserve a décidé de prendre contact avec nous. Estimant qu’elle recevait moins que ce à quoi elle avait droit, la femme vétéran espérait que le Bureau de l’ombudsman des vétérans (BOV) pourrait l’aider.
Un peu d’adaptation à la maison peut faire beaucoup, surtout lorsque cette adaptation peut améliorer la qualité de vie d’une personne âgée. Pour bon nombre d’entre elles, la capacité de demeurer en sécurité à la maison est essentielle au maintien de l’autonomie.
Ceux qui comptent sur les médicaments pour maîtriser leurs problèmes de santé savent à quel point il est crucial de les traiter quotidiennement. Le traitement peut également être coûteux si une personne n’a pas la couverture appropriée.
Pour un vétéran qui a communiqué avec notre bureau, son médicament et sa couverture étaient au cœur de ses préoccupations.
Un vétéran payait une pension alimentaire depuis deux ans. À l’origine, on avait refusé de lui verser des prestations pour personne à charge, mais ACC a finalement approuvé la demande du vétéran, mais seulement pour l’une des deux années visées. Après plusieurs tentatives en vue de régler le problème, le vétéran a communiqué avec notre bureau. Nous avons été en mesure d’informer le vétéran que des documents manquaient à son dossier, et nous avons communiqué avec les responsables des prestations supplémentaires afin de résoudre la question.